À en juger par les questions que reçoit la Direction des affaires professionnelles, beaucoup de médecins se font offrir de travailler pour des plateformes de téléconsultation commerciales. La question la plus fréquente est : « Est-ce que ça respecte la Loi sur l’assurance maladie ? » Qu’en est-il ?
Vous êtes médecin participant, et on vous offre d’exercer dans une clinique privée hors régime public en contrepartie d’une rémunération versée par la clinique ? Vous devez regarder différents volets. Plus particulièrement, vous devez vérifier si vous pouvez exercer dans un tel milieu et si vous devrez réclamer vos honoraires à la RAMQ. Regardons donc ça de près afin d’éviter les surprises.
Vous en avez assez du système public et de ses multiples contraintes ? C’est possible de devenir non-participant. Toutefois, ce statut impose aussi son lot de contraintes. Et selon la nature de votre pratique, certaines obligations liées à vos activités antérieures peuvent vous suivre. Discutons-en !
Quand doit-on prendre sa retraite pour maximiser ce qu’on retire de l’Entente ? Voilà une question fréquente dont nous avons déjà traité sommairement en janvier 2019 dans la chronique Enfin la facturation. Toutefois, de plus en plus de médecins indiquent qu’ils comptent faire un transfert en bloc de leur clientèle, ce qui risque de modifier la réponse. Comprenez-vous pourquoi ?
La RAMQ enquête de plus en plus sur la facturation des médecins et utilise différents moyens. Comprenez-vous bien les conséquences des différentes démarches ?
Bon nombre de médecins demeurent rémunérés à honoraires fixes bien après leur 65e anniversaire. Nous les orientons alors automatiquement vers le régime public d’assurance médicaments, mais certains tiennent à conserver leur couverture d’assurance médicaments du régime d’assurance collective. Ce choix est intrigant, car il est désavantageux économiquement pour ces personnes et pour le groupe. Faites-vous partie de ces médecins ?
Vous avez été nombreux à réagir lorsque la RAMQ vous a informé qu’elle permettrait dorénavant aux personnes assurées de vérifier, dans leur carnet de santé, les honoraires versés à leur médecin. « Encore du “doctor bashing” », a été le commentaire le plus fréquent. Est-ce une situation nouvelle ? Regardons de quoi il s’agit.
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