Formation

Mme Labrecque, 90 ans, souffre d’un trouble anxieux chronique et d’un trouble neurocognitif majeur. Elle vit maintenant chez sa fille. Il est impensable pour la famille de la sortir du domicile pour vous l’amener en consultation même si elle se mobilise aisément. La moindre perte de ses repères entraîne une attitude tonique et difficile à renverser. La famille est démunie.

Vous prévoyez une première visite à domicile chez Mme Simard, à la demande de son frère qui s’inquiète, car son appartement est insalubre. Elle porte des vêtements souillés d’urine, et son réfrigérateur est presque vide, hormis quelques aliments avariés. Elle chasse maintenant de chez elle l’infirmière en soins de plaie du CLSC. Comment soutenir cette patiente et sa famille ?

Mme Poitras, veuve de 79 ans, n’a pas de proches aidants. Elle vous consulte avec une intervenante en gériatrie sociale pour une légère perte d’autonomie. Vous la suivez en cabinet depuis plusieurs années pour divers problèmes : hypertension artérielle, diabète, obésité, ostéoporose associée à un risque élevé de fracture et trouble de l’humeur. Elle aborde son « AINÉÉS* AD-PLUS ». Quel est cet outil ? La gériatrie sociale, c’est quoi ?

À la fin d’une journée bien occupée, vous recevez l’appel d’une infirmière du soutien à domicile. Votre patiente en fin de vie en raison d’un cancer du côlon souhaite mourir à domicile. Vous ne croyez pas avoir les compétences, l’expérience et encore moins le temps nécessaire pour prendre en charge cette situation. Malgré votre inconfort, vous acceptez tout de même par compassion envers votre patiente. À quoi devez-vous vous attendre maintenant ?

Un patient que vous suivez depuis plusieurs années vous demande l’aide médicale à mourir (AMM) et aimerait la recevoir à domicile. Comme vous avez peu d’expérience dans ce domaine, vous décidez d’appeler votre collègue pour vous informer des nouvelles modalités et des démarches nécessaires, en particulier à domicile.

On prend soin de moi à la maison

Robert Aubin, bibliothécaire professionnel  |  2024-03-01

Déficience intellectuelle–II

Gilles Tousignant  |  2024-03-01

Dans cette deuxième partie, nous allons explorer les applications pour l’apprentissage des émotions, le suivi des déplacements ainsi que l’aide à la lecture et à l’écriture.