Nous vous présentons un lexique de certains termes utilisés pour décrire les membres de la communauté LGBTQ+ ou touchant cette communauté.
De 1 % à 2 % des ados d’Amérique du Nord mentionnent une identité transgenre ou non binaire1. Au Québec, ce chiffre représente de 5000 à 10 000 jeunes de 13 à 17 ans. Plusieurs jeunes transgenres et non binaires viendront consulter en cabinet ou à l’urgence ou encore seront hospitalisés. Comment les soutenir et les accompagner ?
L’infirmière du triage vous avise que la prochaine patiente est non binaire. Sur la fiche d’enregistrement, elle a rayé son prénom légal et l’a remplacé par Sophie. Iel a ajouté qu’iel utilise des pronoms non genrés avec des accords féminins. Iel vous consulte pour amorcer une œstrogénothérapie et se questionne sur ses risques d’ITSS. Êtes-vous en mesure de répondre à ses attentes ?
Quels sont les services de santé offerts à la population transgenre ? Quels sont les obstacles auxquels ces personnes font face ? Comment optimiser les soins à cette clientèle ? Voici une entrevue avec Logan Dante Di Giovanni, intervenant communautaire pour Action Santé Travesti(e)s et Transexuel(le)s du Québec (ASTT(e)Q).
Stopper la transmission du VIH grâce aux antirétroviraux, c’est efficace à 100 %. Mais encore faut-il des omnipraticiens pour les prescrire. Rejoignez le mouvement pour le traitement préventif et la prophylaxie préexposition du VIH (PPrE) et faites une différence dans la vie sexuelle de vos patients.
Ce matin, vous rencontrez Ariane, une nouvelle patiente cisgenre de 39 ans en couple avec le père de ses enfants. Sur le questionnaire d’accueil fourni par votre clinique, elle n’a toutefois rien coché au sujet de son orientation sexuelle. « C’est que je suis Ace ! L’option ne se trouvait pas sur le formulaire », précise-t-elle. Vous ignorez ce que signifie le terme « Ace ». Ariane a définitivement quelque chose à vous apprendre !
Nextstellis, une association d’œstétrol et de drospirénone, est un contraceptif oral combiné (COC) monophasique approuvé par Santé Canada en 2021 en prévention de la grossesse. C’est le premier contraceptif oral combiné commercialisé au pays qui contient un œstrogène différent de l’éthinylœstradiol1,2.