Il existe plusieurs centaines d’applications pour aider les enfants autistes. Pour éviter des achats inutiles, il vaut mieux se fier à des experts dans le domaine.
Nous entrerons bientôt dans la dernière année du premier cycle du Règlement sur la formation continue obligatoire du Collège des médecins du Québec. Pour le cycle de cinq ans qui prend fin le 31 décembre 2023, vous devrez notamment cumuler dix heures d’activité d’évaluation de l’exercice de la profession (catégorie B).
Le sémaglutide, un agoniste du récepteur du GLP-1, est bien connu dans le traitement du diabète. Cette molécule s’ajoute maintenant aux options pharmacologiques prescrites pour la perte de poids chez les patients obèses. Alors, le sémaglutide, ça fait le poids ?
Il suffit d’inscrire le mot « autisme » dans un moteur de recherche pour accéder à un immense catalogue de sites offrant de l’information générale ou des outils numériques pour aider les enfants aux prises avec un TSA. Certains proposent des résultats de recherche, des vidéos d’enseignement et davantage. Pour des parents qui font face à cette situation pour la première fois, il peut être difficile de s’y retrouver. Bien qu’elle ne soit pas exhaustive, nous vous présentons une liste d’applications que nous avons utilisées lors de nos ateliers avec des professionnels du monde de l’éducation. Elles peuvent être proposées comme point de départ aux parents.
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Le Nexplanon est un implant sous-cutané radio-opaque à libération prolongée de 68 mg (jusqu’à un maximum de 70 µg/j) d’étonogestrel, un progestatif employé seul1,2, qui inhibe l’ovulation et modifie la glaire cervicale, entravant ainsi la pénétration des spermatozoïdes dans l’utérus1,2. Depuis septembre 2020, c’est le premier implant approuvé par Santé Canada pour la prévention de la grossesse pendant trois ans. Voilà une option contraceptive de plus !
Que représente l’autisme réellement ? La grande diversité des traits autistiques est de plus en plus évidente depuis quelques années.
Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) touche plus de 1 % de la population, plus fréquemment les garçons1. Les signes apparaissent dans la petite enfance et perdurent toute la vie. Ce trouble neurodéveloppemental peut se manifester différemment selon le degré de gravité, le potentiel intellectuel et les troubles concomitants, ce qui peut en rendre l’identification complexe1.
Pour la personne autiste, l’accès aux soins de santé est souvent parsemé de défis1. En plus d’avoir besoin de plus de soins que la personne neurotypique, la personne autiste vivra davantage de difficultés pendant les rencontres médicales. La communication, les particularités sensorielles ainsi que le temps d’attente et les transitions sont tous des aspects importants à prendre en considération lorsque nous avons une personne autiste dans notre cabinet2. Êtes-vous bien préparés ?
Vous suivez Léo, un garçon de 11 ans ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA) avec handicap intellectuel. Léo est non verbal, mais il communique à l’aide de pictogrammes sur sa tablette. Depuis quelques semaines, rien ne va plus : augmentation de l’autostimulation, crises fréquentes, altération du sommeil. Comment aider sa famille épuisée ? Quels symptômes évaluer ? Quels traitements suggérer ?
