Une personne insatisfaite des soins reçus ou toute personne constatant une infraction déontologique ou réglementaire peut déposer une plainte au Collège des médecins du Québec. Le traitement de la plainte peut provoquer beaucoup de stress chez le médecin touché. Mais, quels sont les éléments à connaître sur le traitement des plaintes ? Et surtout, comment prévenir les plaintes ?
Assez, c’est assez ! Bien souvent, le médecin aurait envie, lui aussi, d’exprimer sa frustration et de crier haut et fort son désaccord. Toutefois, comme clinicien, il a l’obligation de conserver son sang-froid et d’agir avec professionnalisme en tout temps.
Au cours des dix dernières années, un élément important est venu modifier l’exercice du médecin : le dossier médical électronique (DME) que nous appellerons dorénavant Dossier clinique électronique (DCE). Lorsqu’il est bien tenu, le DCE est un puissant outil d’aide à l’exercice du médecin.
Depuis l’entrée en vigueur du Règlement sur la formation continue obligatoire des médecins, tous les médecins inscrits au tableau du Collège à titre de membres actifs doivent cumuler au moins 250 heures d’activités de formation continue par période de référence de cinq ans, dont au moins dix sont reconnues pour l’évaluation de l’exercice professionnel1.
Il est rarement simple de mettre fin à une relation thérapeutique1. En pratique, qu’est-ce qu’un motif juste et raisonnable de le faire ? Quand la confiance mutuelle nécessaire à une relation thérapeutique est-elle rompue ?
Le vaporisateur nasal Spravato (eskétamine) est le premier modulateur du récepteur du glutamate et antagoniste du récepteur NMDA (N-méthyl-D-aspartate) approuvé pour le traitement du trouble dépressif majeur en association avec un antidépresseur par voie orale en 2020.
La connotation négative avec laquelle on aborde le plus souvent l’anxiété pourrait nous faire oublier que c’est une fonction vitale, soutenue par l’évolution et essentielle à tout âge.
De plus en plus de vos patients se plaignent d’être stressés, anxieux, au bout du rouleau, submergés, en burnout. Quelles sont les différences et les similitudes entre ces concepts ? Que se passe-t-il dans la tête de vos patients ? Comment se protègent-ils de cette anxiété ? Voici des outils pour vous aider à intervenir auprès d’eux !
L’enseignante d’Émile, 10 ans, est certaine qu’il a un TDA parce qu’il est distrait en classe. Vous avez un doute. Il est réservé, mais n’a jamais été lunatique. Personne dans la famille n’a de TDAH. La maman est cependant traitée pour un trouble anxieux. Pourrait-il s’agir d’anxiété ? Charlotte, 3 ans, a besoin d’une veilleuse pour s’endormir et a peur qu’un monstre se cache sous son lit. Est-ce normal ?