Le choix de la pharmacothérapie dans le trouble anxieux chez l’enfant, l’adolescent et la personne âgée comporte des défis propres à chacune de ces tranches d’âge. Si la décision d’opter ou non pour un traitement pharmacologique revient tout à fait au patient, le choix de la molécule nécessite des connaissances approfondies chez le clinicien. Saurez-vous faire le bon choix ?
Le Dr Côté cherche des ressources technologiques efficaces pour aider ses patients à gérer et à traiter leur anxiété, mais s’y perd devant la quantité d’informations. Lorsqu’il s’aventure dans les outils offerts en santé mentale sur le Web, il a lui-même l’impression de commencer une attaque de panique !
Un bon questionnaire et un examen rapide et ciblé vous guideront vers un bon diagnostic. Voici une série de capsules vidéos pour vous aider à pratiquer un examen physique axé sur la douleur.
Le Vascepa contient de l’icosapent éthyle, une forme purifiée d’acide éicosapentaénoïque (AEP), un oméga-3 à longue chaîne. Il est officiellement approuvé depuis décembre 2019 pour réduire le risque d’événements cardiovasculaires chez les patients présentant une hypertriglycéridémie malgré la prise de statine et un risque cardiovasculaire élevé1. Alors, le Vascepa, ça vaut le coût ?
Le cannabis n’est toujours pas un médicament approuvé au Canada. Il faut donc tenter les mesures pharmacologiques reconnues avant d’ajouter cette classe thérapeutique, notamment après l’essai préalable des deux médicaments à base de cannabinoïdes approuvés par Santé Canada : soit la nabilone (Cesamet) et le nabiximols (Sativex)1.
Bigorexie, MET, sarcopénie, hypertrophie concentrique, SCAT-5, neurogenèse, neuroplasticité, bêta-oxydation, zone de dépassement dysfonctionnelle… Ça vous dit quelque chose ?
Madame Marchand, 35 ans, est traitée par un ISRS pour son anxiété. Elle vous consulte aujourd’hui pour de la fatigue et une anhédonie. Elle a de la difficulté à accomplir ses tâches de préposée aux bénéficiaires. Vous diagnostiquez une dépression et lui prescrivez un arrêt de travail. Elle préfère ne pas ajouter de médicaments à celui qu’elle prend déjà. Et si l’activité physique était une option ?
On a tous entendu le dicton suivant : « Trop, c’est comme pas assez ». Il semblerait que ce soit vrai pour bien des choses, dont l’activité physique. Bien que l’exercice constitue un facteur déterminant de la santé et qu’il soit important d’inciter la population à bouger davantage, l’activité physique pourrait présenter, pour certains, un risque pour la santé physique, psychologique et sociale.
Les adultes sédentaires qui ont un surplus de poids ou qui sont obèses sont souvent pris en charge pour d’autres facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Saviez-vous que la pratique d’activité physique régulière aide à la maîtrise de nombreux facteurs de risque et améliore la survie ? Découvrez quelles sont les approches appropriées en cabinet pour une prescription d’activité physique adéquate et sans risque.