Formation

Association insuline et agoniste des récepteurs du GLP-1

une bonne stratégie ?

Catherine Savard et Isabelle Tremblay  |  2021-05-28

Le Xultophy (insuline dégludec et liraglutide) et le Soliqua (insuline glargine et lixisénatide) sont des antidiabétiques en injection associant une insuline à longue action et un agoniste des récepteurs du GLP-1. Les deux ont été approuvés par Santé Canada en 20181,2. Quels en sont les avantages ? Quelle est leur place dans l’arsenal thérapeutique ?

Gestionnaires de mot de passe

Gilles Tousignant  |  2021-05-28

Plusieurs services, dont les banques, nous obligent à changer nos mots de passe régulièrement et exigent l’utilisation de questions de sécurité pour protéger le contenu. Toutefois, la possibilité d’accéder à nos comptes par empreinte digitale ou reconnaissance faciale a pour conséquence que nous saisissons de moins en moins nos mots de passe et que nous les oublions donc fréquemment. Une des façons de les conserver est d’avoir recours à une application conçue à cette fin.

La COVID-19 en bref – II

le bon patient au bon endroit

Sylvie Rheault, Fannie Joanette-Samson, Gabrielle Bureau et Jean-Sébastien Carrier  |  2021-04-30

Les soins palliatifs

Gilles Tousignant  |  2021-04-30

Les développements en soins palliatifs ont entraîné la création d’outils numériques pour soutenir les cliniciens et les proches aidants. Voici quelques suggestions.

L’hydromorphone en injection a été approuvée par Santé Canada au printemps 2019 pour le traitement des troubles graves liés à l’usage des opioïdes chez l’adulte. C’est le patient lui-même qui se l’administre sous la supervision d’un professionnel de la santé expérimenté. Ce sont les équipes spécialisées en dépendance qui peuvent le lui prescrire. Voyons-y plus clair !

Les soins palliatifs en première ligne

Louise La Fontaine  |  2021-04-28

Votre collègue part pour des vacances bien méritées et vous demande d’assurer le suivi d’une de ses patientes en soins palliatifs. Bien que vous soyez plus ou moins à l’aise dans ce type de suivi, vous vous dites que ça ne devrait pas être trop compliqué !

La douleur n’est pas l’unique symptôme en soins palliatifs. En fin de vie, on trouve de la dyspnée (60 %–95 %), des nausées (20 %–70 %) et de la constipation (65 %–90 %)1. Par conséquent, il faut être méthodique pour pouvoir aider efficacement nos patients avec ces symptômes fréquents. Êtes-vous bien outillés ?

Avez-vous déjà dit à votre patient qu’il prendrait sa statine « à vie » ? Notre formation médicale met l’accent sur quand, comment et quoi prescrire. Nous réévaluons aussi périodiquement la liste de médicaments de nos patients. Dans certaines situations, comme les soins palliatifs, nous sommes appelés à déprescrire. Vous sentez-vous à l’aise de le faire ?

La prévalence des maladies chroniques est grandissante dans la population vieillissante. Au cours des dernières années, des études épidémiologiques ont recensé qu’environ 600 000 Canadiens sont atteints d’insuffisance cardiaque (IC)1, 2,6 millions, de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO)2 et 3 millions, d’insuffisance rénale chronique (IRC)3.

4. La méthadone et les cannabinoïdes en coanalgésie

quand 1+1 font 3

Patrick Vinay et Sarah Girard  |  2021-04-28

« Docteur, la douleur à l’épaule me vient maintenant en pics intolérables qui sont peu soulagés par vos entredoses ! » Un ajustement du traitement médicamenteux est clairement requis pour assurer le confort du patient et rendre possible des moments relationnels essentiels.