Accéder aux lignes directrices de bonne pratique peut s’avérer une activité chronophage. Plusieurs sites Internet proposent des guides. Par contre, posséder sur son téléphone des applications pertinentes à chaque pratique clinique constitue un moyen de gagner du temps de recherche par rapport à la navigation sur Internet.
Heureusement, de nombreuses applications adaptées au contexte nord-américain sont accessibles. C’est pourquoi, dans ce dossier en deux parties, nous vous suggérons le plus d’applications possible accompagnées d’une courte description afin de vous permettre de faire un choix judicieux en fonction de votre pratique clinique.
Même de nos jours, le syndrome des jambes sans repos est méconnu des soignants et est donc souvent mal diagnostiqué et traité. Sa prévalence élevée exige que les médecins de première ligne se familiarisent avec la maladie et jouent un rôle de premier plan dans sa prise en charge. Allons voir comment l’apprivoiser.
L’insomnie est fréquente, mais les insomnies ne se ressemblent pas toutes sur le plan clinique et le besoin de prise en charge. Quand il est nécessaire, le choix du traitement tiendra compte de l’évolution de l’insomnie, mais également des maladies concomitantes associées. Voici un aperçu des considérations pour guider le clinicien dans l’instauration du traitement de l’insomnie chez l’adulte.
Tout médecin de famille suit de près ou de loin des patients atteints d’apnée du sommeil. Comment repérer efficacement ceux qui ont besoin d’une évaluation plus poussée ? Quels symptômes répondent le mieux au traitement par ventilation en pression positive continue ? Comment faire participer le patient au processus de décision partagée ou encore quand effectuer une orientation urgente à la clinique du sommeil ? Faisons la lumière sur ces différentes questions.
Un collègue vous consulte perplexe devant un rapport de polygraphie cardiorespiratoire du sommeil. Il comprend mal le jargon employé et les acronymes, se plaint des anglicismes et de la qualité du français. Il n’est même pas sûr que son patient a dormi, car le rapport indique « a dormi 0 % du temps en décubitus dorsal, et l’IAH est de 0 par heure en dorsal. » Pouvez-vous l’éclairer ?