Parmi les aînés canadiens prenant trois médicaments et plus, 52 % ont indiqué ne pas les prendre conformément aux directives de leur médecin. Cette situation diminue l’efficacité des traitements et peut poser un risque pour la santé. Comment optimiser la discussion au sujet des médicaments pour réduire ce problème ?
Plus du tiers des aînés vivant à domicile chutent au moins une fois chaque année1. Les chutes causent 85 % des hospitalisations liées à des blessures, telles que les fractures1, et sont souvent attribuables, du moins en partie, aux médicaments ( 60 %)2. Comment aborder ce problème ?
Une femme sur trois et un homme sur cinq auront une fracture de fragilisation liée à l’ostéoporose qui aura des conséquences dévastatrices sur leur qualité de vie et leur santé1. Le tiers des personnes ayant eu une fracture de la hanche mourra dans l’année. Malgré l’existence de traitements efficaces, moins de 20 % des Canadiens de 65 ans et plus ayant un risque élevé de fracture reçoivent une évaluation et un traitement2.
Les médicaments hypnotiques ont mauvaise presse. Est-ce justifié ? Pourquoi l’usage à long terme des médicaments hypnotiques est généralement à éviter ? Pourquoi plusieurs patients sont-ils convaincus de leur utilité ? Quelles sont les solutions efficaces contre l’insomnie chronique ? Voici des pistes concrètes pour savoir quand et comment cesser les médicaments hypnotiques.
Selon l’International Diabetes Federation, au moins 20 % des adultes de plus de 65 ans souffraient de diabète en 2021. Les années 2010 ont été l’âge d’or du traitement du diabète avec l’avènement de nombreux nouveaux médicaments sur le marché. Malgré la multitude d’études sur le sujet, peu d’entre elles portent sur la place de ces agents et sur leur déprescription chez les personnes âgées1.
Une femme s’évanouissant dans les bras du prince charmant, la syncope classique au cinéma ! La syncope vasovagale, bien que bénigne, peut toutefois empoisonner le quotidien des patients qui en souffrent. En outre, il est impératif que le clinicien reste à l’affût des autres causes de syncope, soit celles d’origine cardiaque, afin de prévenir les risques de mort subite. Sauriez-vous reconnaître les signaux d’alerte ?
Le monitorage ambulatoire du rythme cardiaque ou Holter est l’examen le plus demandé pour le dépistage des troubles du rythme. Toutefois, il ne répond pas toujours à la question clinique, et l’enregistrement montre souvent des éléments sans lien avec les symptômes du patient. Quelles découvertes devraient vous inquiéter ? Dans quelle situation cet examen est-il approprié ? Quelles sont les solutions de rechange possibles ?