Une femme s’évanouissant dans les bras du prince charmant, la syncope classique au cinéma ! La syncope vasovagale, bien que bénigne, peut toutefois empoisonner le quotidien des patients qui en souffrent. En outre, il est impératif que le clinicien reste à l’affût des autres causes de syncope, soit celles d’origine cardiaque, afin de prévenir les risques de mort subite. Sauriez-vous reconnaître les signaux d’alerte ?
Le monitorage ambulatoire du rythme cardiaque ou Holter est l’examen le plus demandé pour le dépistage des troubles du rythme. Toutefois, il ne répond pas toujours à la question clinique, et l’enregistrement montre souvent des éléments sans lien avec les symptômes du patient. Quelles découvertes devraient vous inquiéter ? Dans quelle situation cet examen est-il approprié ? Quelles sont les solutions de rechange possibles ?
Lors d’un examen préopératoire ou grâce à la surveillance par moniteur, on découvre parfois une arythmie asymptomatique. Est-ce que ces arythmies sont importantes ? Et à quel moment devrions-nous nous inquiéter ?
Le questionnement quant à l’allongement de l’intervalle QT ou à la prescription d’un médicament aux patients souffrant du syndrome du QT long ou ayant un facteur de risque constitue une source d’inconfort pour le clinicien. Peut-on se fier aux valeurs inscrites sur l’ECG ? Comment juger des risques attribuables au patient et à son traitement médicamenteux ? Tentons d’y voir plus clair !
Les patients cardiaques souffrant de troubles de conduction ou portant un cardiostimulateur ou un défibrillateur implantable sont susceptibles de vivre une incapacité lors de la conduite automobile. Dans ce contexte, médecins de famille et cardiologues devront émettre ensemble des recommandations en fonction du risque individuel du patient et des lignes directrices canadiennes. Comment s’y retrouver lorsque le patient vous consulte ?
Nous vous présentons un lexique de certains termes utilisés pour décrire les membres de la communauté LGBTQ+ ou touchant cette communauté.
De 1 % à 2 % des ados d’Amérique du Nord mentionnent une identité transgenre ou non binaire1. Au Québec, ce chiffre représente de 5000 à 10 000 jeunes de 13 à 17 ans. Plusieurs jeunes transgenres et non binaires viendront consulter en cabinet ou à l’urgence ou encore seront hospitalisés. Comment les soutenir et les accompagner ?
