Mme Cloutier vous demande si la physiothérapie pelvipérinéale peut réduire ses symptômes d’incontinence urinaire. Selon sa bru, d’origine française, c’est ce que font les femmes de son pays pour ce problème. Ce serait même efficace pour les prolapsus génitaux et les douleurs périnéales.
Mme Robitaille, 56 ans, se présente à votre cabinet parce qu’elle a des difficultés à uriner et doit forcer pour vider sa vessie. Elle a effectué des recherches sur les troubles mictionnels et désire votre avis sur le sujet. N’étant pas familier avec ces problèmes, vous décidez de contacter un urologue.
L’incontinence urinaire à l’effort, soit la perte involontaire d’urine causée par l’exercice, les éternuements et la toux, est fréquente chez les femmes et peut occasionner une détresse physique, émotionnelle et sociale. Voici donc un article de type vrai ou faux pour tester vos connaissances sur le sujet.
Une dame de 65 ans se présente à votre cabinet, inquiète. Voilà quelques mois qu’une masse sort de son vagin. Il lui arrive même de la repousser à l’intérieur pour réussir à uriner. Elle craint le pire et a de nombreuses questions pour vous…
Le syndrome de douleur pelvienne chronique désigne non seulement un trouble douloureux non spécifique à un organe pelvien, mais aussi un ensemble de maladies douloureuses chroniques de cette région. Il inclut la cystite interstitielle, maintenant appelée syndrome de la vessie douloureuse, les douleurs chroniques myofasciales ainsi que la névralgie pudendale ou d’Alcock.
Il faut parfois tout un village pour protéger, encourager et soutenir l’allaitement d’un enfant. Ce village s’en verra grandi. Pour certaines mères, allaiter va de soi. Pour d’autres, déstabilisées, fatiguées et découragées, l’allaitement cause tout un émoi.
Annie est la maman d’un enfant de 4 mois allaité exclusivement. Bébé se réveille une fois la nuit pour prendre le sein. Elle me demande si le recours à la formule commerciale la nuit lui permettrait de faire ses nuits. Mes compétences sont-elles à jour pour lui répondre adéquatement ?
Chez la femme qui allaite, la perception d’une production de lait inadéquate constitue la plainte la plus fréquente et la deuxième cause d’abandon de l’allaitement. Le médecin de première ligne doit comprendre la lactogenèse et les causes maternelles ou infantiles influençant la production lactée pour être en mesure de mieux évaluer, conseiller et guider les femmes vers des ressources appropriées.
Bien que la mastalgie soit la deuxième plainte la plus fréquente après les troubles de production de lait, elle est la cause principale de sevrage et d’utilisation de préparations commerciales pour nourrissons1. Il est donc primordial de s’en occuper, d’en connaître les causes et leurs traitements et de diriger les patientes aux bons professionnels.
