Il n’est pas toujours évident pour les cliniciens occupés de savoir quand offrir le dépistage du cancer en première ligne. À quels patients ? Pour quels cancers ? À quels groupes d’âge ? À quelle fréquence ? Un nombre grandissant d’outils sont disponibles pour nous aider à intégrer la décision partagée de manière efficace. Revoyons ensemble les données probantes et les recommandations sur le dépistage des cancers en première ligne.
Sir William Osler disait : « s’il n’y avait pas une aussi grande variabilité entre les individus, la médecine pourrait aspirer à être une science plutôt qu’un art ». Cette affirmation est particulièrement vraie chez les aînés, car c’est le groupe le plus hétérogène qui soit1 et dont les problèmes sont peu représentés dans la littérature. Regardons comment le clinicien peut mieux maîtriser l’art d’accompagner son patient aîné dans la réalisation de son projet de vie.
Il n’est pas toujours facile de choisir les tests de dépistage à offrir à nos patients, encore moins lorsque des lignes directrices proposent des recommandations qui diffèrent, voire s’opposent. Le présent article vous aidera à mieux intégrer le dépistage visant à prévenir les fractures de fragilisation dans votre pratique.
Les plaintes concernant le sommeil sont parmi les raisons de consultation les plus fréquentes en première ligne. Dans une étude, quatre Canadiens sur dix ont mentionné au moins un symptôme d’insomnie pendant plus de trois nuits par semaine dans le dernier mois1. Dans le présent article, nous mettrons en perspective les avantages et les risques des différents traitements disponibles.
Même de nos jours, le syndrome des jambes sans repos est méconnu des soignants et est donc souvent mal diagnostiqué et traité. Sa prévalence élevée exige que les médecins de première ligne se familiarisent avec la maladie et jouent un rôle de premier plan dans sa prise en charge. Allons voir comment l’apprivoiser.
L’insomnie est fréquente, mais les insomnies ne se ressemblent pas toutes sur le plan clinique et le besoin de prise en charge. Quand il est nécessaire, le choix du traitement tiendra compte de l’évolution de l’insomnie, mais également des maladies concomitantes associées. Voici un aperçu des considérations pour guider le clinicien dans l’instauration du traitement de l’insomnie chez l’adulte.
Tout médecin de famille suit de près ou de loin des patients atteints d’apnée du sommeil. Comment repérer efficacement ceux qui ont besoin d’une évaluation plus poussée ? Quels symptômes répondent le mieux au traitement par ventilation en pression positive continue ? Comment faire participer le patient au processus de décision partagée ou encore quand effectuer une orientation urgente à la clinique du sommeil ? Faisons la lumière sur ces différentes questions.