Formation continue

1. Anxiété et dépression riment avec action

le rôle de l’activité physique

Louis Mercille et Marie-Josée Filteau  |  2021-11-29

Madame Marchand, 35 ans, est traitée par un ISRS pour son anxiété. Elle vous consulte aujourd’hui pour de la fatigue et une anhédonie. Elle a de la difficulté à accomplir ses tâches de préposée aux bénéficiaires. Vous diagnostiquez une dépression et lui prescrivez un arrêt de travail. Elle préfère ne pas ajouter de médicaments à celui qu’elle prend déjà. Et si l’activité physique était une option ?

2. Surentraînement, problème cardiaque et bigorexie

le sport, ma dépendance

Clarence Lemieux-Simard et Jean Doré  |  2021-11-29

On a tous entendu le dicton suivant : « Trop, c’est comme pas assez ». Il semblerait que ce soit vrai pour bien des choses, dont l’activité physique. Bien que l’exercice constitue un facteur déterminant de la santé et qu’il soit important d’inciter la population à bouger davantage, l’activité physique pourrait présenter, pour certains, un risque pour la santé physique, psychologique et sociale.

3. Faire bouger un patient sédentaire au cabinet

en avoir le cœur net !

Noémie Anctil et Paul Poirier  |  2021-11-29

Les adultes sédentaires qui ont un surplus de poids ou qui sont obèses sont souvent pris en charge pour d’autres facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Saviez-vous que la pratique d’activité physique régulière aide à la maîtrise de nombreux facteurs de risque et améliore la survie ? Découvrez quelles sont les approches appropriées en cabinet pour une prescription d’activité physique adéquate et sans risque.

4. Stéatose hépatique

ayez « foie » en l’activité physique

Émilie Breton-Gagnon et Marc Bradette  |  2021-11-29

Vous vous inquiétez de l’obésité et du taux élevé d’enzymes hépatiques de Mme Bourgeois qui a récemment reçu un diagnostic de stéatose hépatique non alcoolique révélée à l’échographie. Vous vous questionnez sur l’approche à adopter avec cette patiente pour qui la perte de poids est un sujet particulièrement sensible. Quel autre moyen pourriez-vous lui suggérer pour diminuer sa stéatose hépatique et prévenir les possibles complications ?

5 .Prise en charge des commotions cérébrales

la fin du casse-tête !

Sarah Imhoff et Jean Doré  |  2021-11-29

Les connaissances sur les commotions cérébrales évoluent rapidement. C’est pourquoi il est important de rester à l’affût des recommandations les plus à jour. La sixième conférence internationale de consensus sur les commotions cérébrales dans le sport est prévue du 27 au 29 octobre 2022 (si la situation pandémique le permet).

Le dépistage par tomodensitométrie à faible dose permet de diagnostiquer un cancer du poumon à un stade plus précoce, ce qui réduit la mortalité attribuable à ce cancer. Il est accessible au Québec depuis juin 2021 dans le cadre du programme de dépistage. Mais qui doit-on y diriger ?

2. Cannabis fumé ou vapoté

et les poumons de vos patients

Jonathan Lévesque  |  2021-10-29

Mme Gagnon a toute une liste de questions pour vous sur le cannabis et ses risques pour la santé pulmonaire. Et elle a bien raison de s’interroger, car la consommation de cannabis peut effectivement entraîner des effets indésirables non négligeables et potentiellement néfastes pour la santé pulmonaire à court et à long terme.

Mme Girard, une agente immobilière de 55 ans, se présente à votre cabinet pour un suivi annuel. Elle mentionne une dyspnée qui l’empêche maintenant de monter avec ses clients les trois étages des triplex qu’elle vend. Elle fume un paquet de cigarettes par jour. En raison de ses allergies saisonnières, elle se demande si elle ne souffrirait pas d’asthme. Comment clarifier la situation ?

4. Les exacerbations de la BPCO

les prévenir et les combattre

Félix-Antoine Vézina  |  2021-10-29

Vous êtes de garde à l’urgence. Votre prochaine patiente est cette agente d’immeuble que vous aviez évaluée au service de consultation sans rendez-vous quelques mois plus tôt. Elle avait alors moins bonne mine qu’à sa consultation précédente. Elle vous mentionne aujourd’hui qu’elle traîne un petit rhume depuis deux semaines, mais que rien ne va plus depuis une semaine.