Depuis l’entrée en vigueur du Règlement sur la formation continue obligatoire des médecins, tous les médecins inscrits au tableau du Collège à titre de membres actifs doivent cumuler au moins 250 heures d’activités de formation continue par période de référence de cinq ans, dont au moins dix sont reconnues pour l’évaluation de l’exercice professionnel1.
Il est rarement simple de mettre fin à une relation thérapeutique1. En pratique, qu’est-ce qu’un motif juste et raisonnable de le faire ? Quand la confiance mutuelle nécessaire à une relation thérapeutique est-elle rompue ?
La connotation négative avec laquelle on aborde le plus souvent l’anxiété pourrait nous faire oublier que c’est une fonction vitale, soutenue par l’évolution et essentielle à tout âge.
De plus en plus de vos patients se plaignent d’être stressés, anxieux, au bout du rouleau, submergés, en burnout. Quelles sont les différences et les similitudes entre ces concepts ? Que se passe-t-il dans la tête de vos patients ? Comment se protègent-ils de cette anxiété ? Voici des outils pour vous aider à intervenir auprès d’eux !
L’enseignante d’Émile, 10 ans, est certaine qu’il a un TDA parce qu’il est distrait en classe. Vous avez un doute. Il est réservé, mais n’a jamais été lunatique. Personne dans la famille n’a de TDAH. La maman est cependant traitée pour un trouble anxieux. Pourrait-il s’agir d’anxiété ? Charlotte, 3 ans, a besoin d’une veilleuse pour s’endormir et a peur qu’un monstre se cache sous son lit. Est-ce normal ?
Pendant vos vacances, votre collègue a vu Mme Gagnon. Voici ce qu’elle lui a dit : « Depuis quelques semaines, je suis épuisée, je fais des erreurs et je me suis mise à pleurer devant les clients. Rien ne m’allume ! Je tourne en rond et je mange seulement parce qu’il le faut. La nuit, je me lève plusieurs fois pour vérifier si mon garçon et mon mari respirent toujours. J’ai peur de devenir folle. »
Le choix de la pharmacothérapie dans le trouble anxieux chez l’enfant, l’adolescent et la personne âgée comporte des défis propres à chacune de ces tranches d’âge. Si la décision d’opter ou non pour un traitement pharmacologique revient tout à fait au patient, le choix de la molécule nécessite des connaissances approfondies chez le clinicien. Saurez-vous faire le bon choix ?
Le Dr Côté cherche des ressources technologiques efficaces pour aider ses patients à gérer et à traiter leur anxiété, mais s’y perd devant la quantité d’informations. Lorsqu’il s’aventure dans les outils offerts en santé mentale sur le Web, il a lui-même l’impression de commencer une attaque de panique !