Formation continue

Un collègue vous consulte perplexe devant un rapport de polygraphie cardiorespiratoire du sommeil. Il comprend mal le jargon employé et les acronymes, se plaint des anglicismes et de la qualité du français. Il n’est même pas sûr que son patient a dormi, car le rapport indique « a dormi 0 % du temps en décubitus dorsal, et l’IAH est de 0 par heure en dorsal. » Pouvez-vous l’éclairer ?

5. Est-ce que tu dors ?

le monde des parasomnies

Éric Frenette  |  2024-09-01

Les événements survenant pendant la nuit sont souvent mystérieux. Les parasomnies font partie de ce spectre de comportements particuliers se manifestant pendant le sommeil. Le folklore populaire regorge de recommandations, comme celle de ne pas éveiller un somnambule. Nous tâcherons de jeter un peu de lumière sur ces événements qui se produisent habituellement dans l’obscurité.

À la suite d’une prise de sang effectuée par sa nouvelle compagnie d’assurance, Monsieur Gagnon se présente dans votre cabinet un peu paniqué en déclarant : « Docteur, on m’a dit que mes reins fonctionnent mal ! Est-ce grave ? ».

Le Dr Laviolette, omnipraticien, et le Dr Proulx, néphrologue, se retrouvent à bord d’un train en direction du Congrès annuel sur la maladie rénale chronique. Café en main, la discussion s’anime…

L’insuffisance rénale chronique (IRC) constitue un problème fréquent demandant un suivi en première ligne. Il vous est sûrement déjà arrivé de vous trouver devant une créatinine augmentée par rapport au taux de base habituel. Que faire dans cette situation ? Comment auriez-vous pu prévenir cette détérioration de la fonction rénale ? Testez vos connaissances en douze questions de vrai ou faux !

La protéinurie et l’hématurie sont des découvertes fréquentes dans les cliniques ambulatoires, mais elles peuvent avoir des répercussions cliniques bien différentes. Parfois synonymes d’un simple problème bénin, certaines protéinuries et hématuries peuvent aussi indiquer des maladies rénales sérieuses nécessitant une prise en charge rapide1. Démêlons ce casse-tête !

Monsieur Gaul, homme blanc de 74 ans, a une créatininémie de 130 µmol/l pour un DFGe de 47 ml/min/1,73 m2 qui diminue chaque année depuis quelques années de 1,5 ml/min/1,73 m2. L’analyse d’urine ne révèle pas d’hématurie, et le ratio albumine/créatinine est de 24 mg/mmol. Il souffre d’hypertension artérielle et de diabète, mais les deux sont bien maîtrisés. Comment prendre en charge sa maladie rénale chronique ?