L’isotrétinoïne, connue davantage sous le nom d’Accutane, est un dérivé de la vitamine A employée depuis plusieurs décennies dans le traitement de l’acné grave. Bien que son efficacité soit établie, ses effets indésirables en limitent parfois l’utilisation. Mais qu’en est-il à plus faible dose ?
Si les agonistes des récepteurs des benzodiazépines et les hypnotiques de type Z (BZRA) peuvent avoir leur utilité, ils ont toutefois un potentiel d’effets néfastes importants, possiblement même après leur arrêt. Les lignes directrices n’en recommandent donc pas l’usage prolongé en cas d’insomnie. Chez les personnes âgées, il est aussi recommandé de les éviter. Quand, chez qui et surtout comment devrait-on les arrêter ?
La carence en fer est la cause la plus fréquente d’anémie et toucherait globalement plus d’un milliard de personnes1. Le médecin de famille doit donc couramment prescrire des suppléments de fer et doit se poser de nombreuses questions au préalable. Quelle sorte ? Quelle posologie ? Par voie orale ou intraveineuse ?
L’eszopiclone (Lunesta), un isomère S de la zopiclone, est un hypnotique non benzodiazépinique agissant sur les récepteurs GABA-A. Commercialisée au Canada depuis 2020, elle est indiquée dans le traitement de courte durée et le soulagement symptomatique de l’insomnie. Son utilisation est courante aux États-Unis depuis sa mise en marché en 2004.
Le lemborexant (Dayvigo) est un médicament hypnotique de la classe des antagonistes des récepteurs de l’orexine. Il a été approuvé par Santé Canada en 2021 pour le traitement de l’insomnie caractérisée par des difficultés d’endormissement et/ou de maintien du sommeil chez l’adulte1.
Au cours des quinze dernières années, les études d’envergure sur le traitement de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) se sont succédé. Elles ont marqué l’arrivée de nouveaux joueurs. La panoplie d’options est telle qu’on en perd parfois notre latin. La trithérapie fait peu à peu son chemin. Où en sommes-nous maintenant ?
Le vaporisateur nasal Spravato (eskétamine) est le premier modulateur du récepteur du glutamate et antagoniste du récepteur NMDA (N-méthyl-D-aspartate) approuvé pour le traitement du trouble dépressif majeur en association avec un antidépresseur par voie orale en 2020.
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