La prévalence du trouble neurocognitif majeur est plus élevée chez les personnes ayant une déficience intellectuelle. Ces dernières consultent de plus en plus pour ce motif. Que sait-on de ce trouble chez la personne ayant une déficience intellectuelle et de ses signes précurseurs ? Quels sont les obstacles au dépistage et à l’évaluation ? À quels outils recourir et quelles lignes directrices consulter ?
Le 1er novembre 2022, le projet de loi 18 est entré en vigueur afin de mieux protéger les personnes en situation de vulnérabilité1. En 2021, au Québec, c’était 40 433 personnes qui bénéficiaient de mesures de représentation publique ou privée2. Les mesures d’assistance et de représentation sont particulièrement importantes pour les personnes ayant une déficience intellectuelle.
La drospirénone 4 mg (Slynd) est un contraceptif progestatif approuvé par Santé Canada en 2021 et commercialisé depuis mai 20221. Bien qu’il existe une abondance de contraceptifs oraux combinés (COC), Slynd est la première pilule progestative à voir le jour depuis la noréthindrone (Micronor, Jencycla) en 1972.
Les parents soutiennent leurs enfants ayant des limitations fonctionnelles dans leur quête d’autonomie. Certaines applications sont conçues avec le même objectif. D’abord créées pour les personnes sur le spectre de l’autisme, plusieurs conviennent aux personnes ayant une déficience intellectuelle. En voici quelques-unes !
Vous rencontrez M. Durrani, un réfugié d’Afghanistan réinstallé au Québec depuis six mois, qui se plaint d’une lombalgie. Ses soins de physiothérapie sont-ils couverts ? Vous rencontrez ensuite Mme Joseph, demandeuse d’asile haïtienne qui présente des symptômes de stress post-traumatique. A-t-elle accès à la psychothérapie ?