Formation

M. Gagnon est traité de longue date pour une maladie affective bipolaire stabilisée par la prise de rispéridone (3 mg, 1 f.p.j.) et de lithium (900 mg au coucher). À 65 ans, la rispéridone a été remplacée par la quétiapine, car il présentait du parkinsonisme, principalement un tremblement de repos prédominant à l’hémicorps gauche. À 85 ans, il présente les mêmes signes sans détérioration. Est-ce la maladie de Parkinson ?

La proportion de patients parkinsoniens qui va présenter en moyenne sept symptômes non moteurs au bout de cinq à dix années d’évolution de la maladie est de 98,6 %1. Ces symptômes constitueront les principaux déterminants de la perte d’autonomie et du placement en centre d’hébergement. Comment aider nos patients et leur famille à alléger un tel fardeau ?

Un thème se dessine pour votre clinique au cabinet cet après-midi : trois patients parkinsoniens viennent faire remplir un rapport d’examen médical pour le renouvellement de leur permis de conduire. Saurez-vous adopter la bonne conduite ?

La maladie de Parkinson

Robert Aubin, bibliothécaire professionnel  |  2024-05-01

Maladie de Parkinson–I

Gilles Tousignant  |  2024-05-01

La maladie de Parkinson affecte divers aspects de la vie des personnes atteintes. Le développement des nouvelles technologies a permis de créer des applications pour téléphones intelligents qui offrent la possibilité de soutenir ces personnes dans leurs activités quotidiennes.

Le don d’organes et de tissus

Frédérick D’Aragon  |  2024-04-02

1. Don de rein d’un donneur vivant

que devez-vous savoir ?

Caroline Lamarche et Myriam Khalili  |  2024-04-02

Mme Renald, 65 ans, est atteinte d’hypertension artérielle bien maîtrisée par un seul antihypertenseur. Son mari souffre d’insuffisance rénale chronique et est maintenant sur la liste d’attente pour une transplantation d’un rein cadavérique. Elle se demande si elle devrait lui donner un de ses reins. Est-ce possible ?