La vie professionnelle

Lorsqu’un incident de confidentialité concernant des informations personnelles se produit dans une clinique, il est maintenant obligatoire d’aviser les personnes touchées, d’inscrire l’événement dans un registre et, dans certains cas, de prévenir la Commission d’accès à l’information.

Durant la première vague de COVID-19, de nombreux résidents de CHSLD sont morts au Québec. Leur taux de décès était parmi les plus élevés du monde. Pourquoi ?

Il semble de plus en plus clair que, chez certains patients, l’apnée du sommeil est liée à un déclin cognitif. Faut-il alors traiter ceux dont le problème est léger s’ils présentent des facteurs de risque de démence ?

La vaccination pourrait permettre de diminuer les ris­ques de COVID longue. Une étude d’observation italienne publiée dans le Journal of the American Medical Association montre que l’administration de plusieurs doses de vaccin est associée à une plus faible prévalence de la maladie1.

Au moment d’écrire ces lignes, la campagne électorale 2022 bat son plein. Si certains politiciens continuent de faire des promesses extrêmement ambitieuses (je demeurerai poli ici), une chose frappe : les débats en santé se concentrent principalement sur l’accès à la première ligne de soins et sur la formation d’un plus grand nombre de médecins de famille. Nous sommes à des lieux du sempiternel et regrettable « doctor bashing » auquel nous avons malheureusement trop souvent assisté dans un passé récent. Tout indique que nos propositions, nos actions et notre attitude des derniers mois portent déjà leurs fruits.

L’Association des médecins omnipraticiens de Laurentides-Lanaudière (AMOLL) et sa présidente, la Dre Lyne Couture, tentent d’aider leurs membres grâce à des solutions novatrices fondées sur des études québécoises.

Le 7 septembre, la Dre Marie-Pierre Laflamme deviendra directrice adjointe à la Direction de la planification et de la régionalisation (DPR) de la FMOQ et secondera ainsi la Dre Anne-Louise Boucher.

La première échéance arrive bientôt : le 22 septembre. Ce jour-là, de nouvelles obligations incomberont aux cliniques concernant la protection des renseignements personnels. Il s’agit de mesures imposées par la loi 25, la Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels, adoptée il y a un an.