Les recherches le prouvent : qu’il s’agisse de visiter un musée, de peindre ou de chanter, l’art fait du bien. Vous suggérez déjà à vos patients de bien manger et de faire de l’exercice. Et si vous leur recommandiez aussi de s’adonner à des activités artistiques ?
Il y a un peu moins d’un an, dans l’éditorial « Reprenons l’initiative de l’organisation des soins », j’en appelais à une révision des paramètres de pratique, à une amélioration de l’accès aux soins et à l’exercice de notre profession dans un environnement exempt de menaces.
Le projet de loi no 3, sur les renseignements de santé et de services sociaux, aidera les médecins de famille en leur facilitant l’accès aux informations sur les patients. Toutefois, il ne doit pas alourdir leur tâche, a averti la FMOQ en commission parlementaire.
L’halopéridol est-il bénéfique pour les patients des soins intensifs en proie au délirium ? D’étranges résultats sont sortis de l’étude AID-ICU (Agents Intervening against Delirium in the Intensive Care Unit) récemment publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM)1.
Même si la danse et l’aquaforme présentent des avantages particuliers, la plupart des activités physiques sont probablement aussi bénéfiques pour les patients atteints de la maladie de Parkinson.
Le Québec est aux prises avec une pénurie d’au moins 1000 médecins de famille, un vieillissement de sa population et d’immenses défis à relever en santé. Dans cet écosystème plutôt fragile, chaque médecin de famille en devenir, en pratique et en fin de carrière est précieux.