La vie professionnelle

Au second tour du jumelage des étudiants en médecine avec les facultés de médecine canadiennes, certains des nombreux postes libres en médecine familiale au Québec ont été pourvus.

Le président de l’Association des médecins omnipraticiens de la Côte-Nord, le Dr Guillaume Lord, fait partie depuis peu du conseil d’administration de la FMOQ. Il souhaite notamment contribuer à améliorer l’organisation des soins et l’attractivité de la médecine familiale en région éloignée.

Pour les dons d’organes après le décès, de nombreuses personnes croient que le passage d’un modèle de consentement explicite à un modèle de consentement présumé réduirait considérablement la pénurie chronique d’organes. Cette croyance repose-t-elle sur des données probantes ou sur la présomption de l’effet d’un tel modèle sur le don d’organes ?

4. Le veto des familles au don d’organes

qui a le dernier mot ?

Louise Bernier et Marine Mageau  |  2024-04-22

Charles est admis aux soins intensifs à la suite d’un grave accident de motoneige. Quarante-huit heures plus tard, son décès par critères neurologiques est constaté. Bien qu’il ait consigné ses volontés par écrit, ses parents endeuillés s’opposent au don, complètement épuisés par les derniers jours passés au chevet de leur fils. L’équipe traitante, bouleversée par la situation, s’interroge sur l’importance de respecter les volontés de Charles face au refus de sa famille.

5. Le don de tissus pour la greffe, vous connaissez ?

Étienne Fissette, Marc Germain et Mélanie Dieudé  |  2024-04-22

La première greffe de tissus a eu lieu il y a près de 150 ans. De nos jours, il se fait chaque année plusieurs milliers de greffes de tissus au Québec, dont plus de 800 greffes de cornées uniquement ! Pourtant, la greffe de tissus est encore mal connue, même si elle permet parfois de sauver des vies. Sauriez-vous dire dans quelles situations ? Continuez votre lecture pour en savoir plus !

Des chercheurs de l’Université de Montréal viennent de montrer qu’au cours de la dernière décennie les omnipraticiens ont davantage encouragé leurs patients atteints de maladies chroniques à faire de l’exercice, mais ont moins souvent incité leurs patients en bonne santé à en pratiquer.