Consultations trop longues, interruptions fréquentes, multitude de formulaires à remplir… Vos journées s’étirent. Mieux organiser votre pratique en cabinet peut améliorer votre efficacité et vous aider à maîtriser la situation.
Le mode de rémunération des médecins de famille va changer. Et cette modification va peut-être transformer la manière de pratiquer.
Les médecins de première ligne sont à la croisée des chemins. Ils ont besoin de plus d’aide pour faire face à leur charge grandissante de travail. Plusieurs songent donc à engager eux-mêmes une infirmière pour les épauler. Mais quel type s’adjoindre ?
Le prix Rayonnement et Engagement a été remis pour la première fois au congrès « Ensemble pour se renouveler ». « Ce prix vise à reconnaître d’une manière officielle les accomplissements d’un médecin ou d’un groupe de médecins omnipraticiens. C’est un hommage décerné par des pairs à des médecins omnipraticiens qui ont fait rayonner notre profession par leur engagement et par leur parcours exceptionnel », a expliqué le Dr Marc-André Amyot, président de la FMOQ.
De nouvelles solutions pourraient bientôt être mises en œuvre pour accroître l’accès à la première ligne à la fois pour les patients sans médecin de famille et pour ceux qui sont inscrits, a expliqué le Dr Marc-André Amyot, à son premier conseil en tant que président de la FMOQ, le 30 avril dernier.
Le même scénario que l’an dernier se répète : un grand nombre de postes en médecine familiale n’ont pas été pourvus au second tour du Service canadien de jumelage des résidents (CaRMS). Ainsi, cette année, 65 des 510 places offertes au Québec sont restées vacantes. Presque 13 %.
Le Dr Simon Maltais, chirurgien cardiaque, vient de lancer le code bleu. De nombreuses personnes doivent être sauvées. Il ne s’agit pas de patients, mais plutôt de professionnels de la santé. « Dans un hôpital, le code bleu est un moment critique où tout le monde laisse tomber les disputes, les obligations et va aider le malade », explique le spécialiste.
La quatrième dose du vaccin contre la COVID-19 serait utile pour les personnes âgées, celles qui ont d’importants facteurs de risque ou des maladies graves, mais peu pour les gens de moins de 60 ans en bonne santé.
On sait maintenant que le diabète et le prédiabète sont des maladies potentiellement réversibles. Mais comment s'y prend-on pour aider un patient à retrouver une glycémie normale ?
Qu’est-ce qui est le plus efficace pour prévenir un accouchement prématuré spontané chez une femme ayant une grossesse à risque élevé ? La progestérone vaginale, la progestérone par injection, le cerclage ?
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