Des chercheurs de l’Université de Montréal viennent de montrer qu’au cours de la dernière décennie les omnipraticiens ont davantage encouragé leurs patients atteints de maladies chroniques à faire de l’exercice, mais ont moins souvent incité leurs patients en bonne santé à en pratiquer.
Un test simple, l’insulinémie à jeun, permettrait de détecter en prévention primaire les patients normoglycémiques les plus susceptibles d’être atteints d’une athérosclérose subclinique, vient de montrer un cardiologue montréalais.