Nouvelles syndicales et professionnelles

Le nouveau président de la FMOQ, le Dr Marc-André Amyot, a commencé sa tournée du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Le 10 septembre dernier, il s’est rendu à La Sarre rencontrer les membres de l’Association des médecins omnipraticiens du nord-ouest du Québec.

Le Service des affaires économiques de la FMOQ est devenu la Direction des affaires économiques et est désormais dirigé par la Dre Danielle Daoust qui, jusqu’à présent, était directrice adjointe aux Affaires professionnelles.

Lorsqu’un incident de confidentialité concernant des informations personnelles se produit dans une clinique, il est maintenant obligatoire d’aviser les personnes touchées, d’inscrire l’événement dans un registre et, dans certains cas, de prévenir la Commission d’accès à l’information.

Durant la première vague de COVID-19, de nombreux résidents de CHSLD sont morts au Québec. Leur taux de décès était parmi les plus élevés du monde. Pourquoi ?

Il semble de plus en plus clair que, chez certains patients, l’apnée du sommeil est liée à un déclin cognitif. Faut-il alors traiter ceux dont le problème est léger s’ils présentent des facteurs de risque de démence ?

La vaccination pourrait permettre de diminuer les ris­ques de COVID longue. Une étude d’observation italienne publiée dans le Journal of the American Medical Association montre que l’administration de plusieurs doses de vaccin est associée à une plus faible prévalence de la maladie1.

Le 7 septembre, la Dre Marie-Pierre Laflamme deviendra directrice adjointe à la Direction de la planification et de la régionalisation (DPR) de la FMOQ et secondera ainsi la Dre Anne-Louise Boucher.

La première échéance arrive bientôt : le 22 septembre. Ce jour-là, de nouvelles obligations incomberont aux cliniques concernant la protection des renseignements personnels. Il s’agit de mesures imposées par la loi 25, la Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels, adoptée il y a un an.

Comment éviter qu’un enfant devienne allergique à certains aliments ? Pour prévenir un cas, il faut introduire les allergènes dans l’alimentation de 63 bébés. Ce nombre de patients à traiter vient d’être déterminé par une nouvelle étude du Lancet. L’essai clinique révèle que le fait d’exposer un enfant de 3 mois aux arachides, aux œufs, au blé et au lait de vache réduit ses risques d’allergies à 36 mois1.