Un duo d’omnipraticiens de la même famille a vécu une expérience inoubliable à vélo. Retour sur cet exploit sportif qui fait la promotion des saines habitudes de vie.
La COVID-19 s’est invitée dans la vie de la Dre Mélanie Lacasse en avril 2021. Et malheureusement, elle s’est incrustée. La médecin de famille de 45 ans, qui exerçait au CHSLD Vallée-de-la-Lièvre et au GMF de la Basse-Lièvre, à Gatineau, est aujourd’hui aux prises avec la redoutable COVID longue.
Pratiquer une activité physique, même une dizaine de minutes par jour, diminuerait le risque de dépression. « Les professionnels de la santé devraient donc encourager toute augmentation de l’activité physique pour améliorer la santé mentale », estiment les chercheurs.
Beaucoup ne soupçonnent pas l’efficacité des électrochocs. Et elle peut parfois être impressionnante. Des chercheurs ontariens n’hésitent ainsi pas à affirmer que l’électroconvulsivothérapie peut sauver la vie de patients atteints d’une grave dépression.
Intitulé « Ensemble pour se renouveler », le congrès des membres de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) s’est déroulé les 26 et 27 mai dernier, à Montréal. Plus de 600 médecins y ont participé, dont presque les deux tiers étaient en ligne. De grands thèmes y ont été abordés, comme le bien-être des médecins (p. 8), les difficultés en première ligne (p. 10), la capitation (p. 14), l’amélioration de l’organisation du travail (p. 12), la pratique interprofessionnelle (p. 16), les communications ainsi que les médias sociaux.
Que faire pour lutter contre l’épuisement professionnel ? Apprendre des techniques de gestion du stress ? Suivre une formation sur la résilience ? Participer à un atelier sur la pleine conscience ? En fait, peut-être qu’aucune de ces mesures ne serait suffisante.
Quelles solutions vous aideraient dans votre pratique et amélioreraient votre bien-être au travail ? Le quart des omnipraticiens ont répondu à un sondage de la FMOQ sur ce sujet. En voici les points saillants.
Consultations trop longues, interruptions fréquentes, multitude de formulaires à remplir… Vos journées s’étirent. Mieux organiser votre pratique en cabinet peut améliorer votre efficacité et vous aider à maîtriser la situation.
Le mode de rémunération des médecins de famille va changer. Et cette modification va peut-être transformer la manière de pratiquer.
Les médecins de première ligne sont à la croisée des chemins. Ils ont besoin de plus d’aide pour faire face à leur charge grandissante de travail. Plusieurs songent donc à engager eux-mêmes une infirmière pour les épauler. Mais quel type s’adjoindre ?