Ce n’est qu’une petite prise de sang après tout ! Impossible de nuire au patient non ? Et pourquoi ne pas ajouter deux ou trois analyses puisqu’on y est ? Avec en moyenne de 14 à 20 analyses biomédicales prescrites à chaque Canadien par année1, force est de constater que leur prescription est bien ancrée dans nos mœurs médicales. Mais attention, malgré les apparences, les analyses biomédicales peuvent nous jouer de vilains tours. Testez vos connaissances avec ce vrai ou faux.
Qu’est-ce qu’une électromyographie (EMG) ? Quel suivi demander à la suite de cet examen ? Cet examen spécialisé permet de clarifier le diagnostic d’une maladie nerveuse périphérique, mais il est parfois préférable d’attendre avant de le prescrire ou de choisir d’autres examens. Levons le voile sur cet examen.
La dyspnée est un symptôme commun comportant un vaste éventail de diagnostics différentiels. Les tests de physiologie respiratoire constituent un outil de choix pour l’évaluation des causes pneumologiques, mais demeurent encore aujourd’hui une ressource souvent difficile d’accès. Voyons ici comment optimiser le choix de ces tests et en réviser leur utilité diagnostique en clinique.
De nombreuses publications s’adressent aux praticiens de première ligne. On y fait souvent des recommandations qui suggèrent l’ajout de tests à nos prises en charge. Mais comment savoir si ces ajouts ont réellement un bénéfice supplémentaire ? Explorons les « nouveaux » tests en cardiologie en nous demandant s’ils sont utiles ou non en première ligne.
Combien coûtent vraiment les examens paracliniques que nous demandons quotidiennement ? Les réponses sont plus complexes que l’on pourrait le croire. Au-delà des coûts directs qui varient dans le temps et par région, il existe des coûts indirects qui ne sont pas toujours pris en compte. Quelles réalités se cachent derrière ces examens ? C’est ce que nous verrons ensemble.
La crème de clascotérone à 1 % (Winlevi) est le premier médicament anti-androgène topique commercialisé au Canada. Approuvée par Santé Canada en 2023, elle est indiquée dans le traitement de l’acné chez les personnes de 12 ans et plus1. Quelle est sa place parmi les traitements actuels de l’acné ?